Browsing by Author "HAMANI Dounya OUMICHE Khadidja SOLTANI Aya. Enc/ Dr. FATMI Ahlam"

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    Prevalence of nosocomial infections in the surgery department of El-zahroui Hopital - M'sila
    (Université Mohamed Boudiaf - M’Sila, 2024-06) HAMANI Dounya OUMICHE Khadidja SOLTANI Aya. Enc/ Dr. FATMI Ahlam
    Introduction : Les infections nosocomiales sont toutes infections qui apparaissent 48 heures après un séjour dans un établissement de santé. Elle représente un problème de santé publique en raison de ses conséquences graves pouvant aller jusqu'à la mort. L'objectif principal de cette étude est de connaître l'étendue exacte de sa prévalence à l'hôpital Al-Zahraoui du service de chirurgie générale, ainsi que de connaître les risques qui y sont associés. Méthode: Notre étude se compose de deux parties principales. Une étude rétrospective basée sur 48 patients selon leurs dossiers d'infection hospitaliers pour les années 2023 et 2024 (période de janvier à avril). Nous avons déterminé l'âge, le sexe, la durée du séjour, la nature de l'intervention chirurgicale, la cause de l'infection... et tout ce qui nous serait utile à cet égard. Quant à la deuxième partie, nous nous sommes appuyés sur un questionnaire direct auprès du personnel médical pour connaître son rôle dans la propagation de l'infection. Résultats: 0.89% des patients du service de chirurgie générale ont développé des infections nosocomiales. Le pourcentage de femmes est de 52 %, dont 19 % de filles, 48 % d'hommes et 15 % de garçons. La survenue d'infections à l'hôpital Al-Zahraoui était liée à plusieurs facteurs : tels que l'âge, les faibles moyens dans les structures de santé, la présence de blessures et la mauvaise supervision du personnel médical, en plus de la propagation d'organismes hautement résistants tels que E. coli (30%), K. pneumonie (5%), et S.aureus (35%), A travers le questionnaire, on constate que 40 % du personnel médical a répondu « L'immunodéficience » chez les patients est un facteur potentiel d'infections hospitalières. 46% n'utilisent pas de gants et n'en changent pas entre les patients. 80% du personnel médical n'a reçu aucune formation sur les infections hospitalières. Conclusion: Le problème des infections nosocomiales chirurgicales peut être réduit en suivant les mesures préventives nécessaires, que ce soit de la part des patients ou du personnel médical responsable.