Browsing by Author "Ben thameur Houda. Djeltane Meriem"
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Item Open Access COMPORTEMENT DE QUELQUES GENOTYPES D'ORGE (Hordeum vulgare L.) SOUMIS A UN STRESS HYDRIQUE(UNIVERSITE MOHAMED BOUDIAF - M’SILA, 2006) Ben thameur Houda. Djeltane MeriemL'expérimentation que nous avons menée durant la compagne 2005/2006, nous a permis de répondre aux principaux objectifs fixés au départ: - Disposer de paramètres morphologiques, physiologiques et biochimiques permettant de comparer le comportement des génotypes vis-à vis du stress hydrique. - Disposer de valeurs de rendement et de ses composantes en deux traitements (stressé –non stressé), sur la base des quelles nous avons pu identifier les génotypes les plus affectées par le stress hydrique pour une composante donnée. Pour les paramètres physiologiques et biochimiques étudiées, la teneur relative en eau est un mécanisme de tolérance économiques, il permet à la plante de maintenir un fonctionnement identique avec une quantité moindre d'eau, les génotypes intéressants sont: Nure, Tichedrett, Tremois et Rahma. Pour les sucres solubles et la pression osmotique le génotype Tichedrett est la plus intéressant par une forte accumulation des sucres solubles et une pression osmotique faible. Pour la teneur en proline, le génotypes Tissa est le plus intéressant pour ce caractère, alors que pour l'indice de stabilité membranaire, les génotypes les plus intéressants sont: El bahia, suivie par Tremois. Pour les caractères morphologiques, le stress hydrique n'a pu agir de façon significative que sur la largeur de la feuille, surface foliaire, longueur de la tige. Les génotypes qui ont accumulé plus de caractères morphologiques intéressants sont: Tremois et Tichedrett. Par ailleurs, la contrainte hydrique affecte sérieusement le rendement et ses principales composantes (nombre de grains par épi, nombre d'épi par mètre carré, poids de mille grains). Les génotypes les moins affectés par le manque d'eau pour le rendement sont: Tichedrett et Rahma, et les plus affectés sont Fouara et Nure. Les génotypes qui accumulent le plus de caractères de tolérance au stress hydrique sont les génotypes Rahma et Tichedrett, ainsi le génotype Tremois. Toutefois, les résultats de cette étude ne représentent qu'une étape dans l'identification des génotypes tolérantes à la sécheresse. L'étude des paramètres morphologiques, physiologiques et biochimiques doit être étendue à une gamme plus large de génotypes.