Ben amara Yamina, Chebabha Nabila et Rabia Leyla Siham2019-03-042019-03-042007http://dspace.univ-msila.dz:8080//xmlui/handle/123456789/10512C’est en 1908, à l’institut Pasteur de Tunis [14], que fut observé le premier toxoplasme par Nicolle et Manceaux [12] chez Ctenodactylus gondii [03] rongeur tunisien, un protozoaire qu’ils notamment Leischemania gondii et que splendore l’isole du lapin au Brésil [14]. Une année après, et sur des critères morphologiques, le parasite fut renommé Toxoplasma gondii, a partir du mot grec (Toxon : arc / croissant) [10], par la suite, ce protozoaire à été décrit chez tous les animaux homéothermes [14], mais il semble qu’il n’existe qu’une seule espèce de toxoplasme pouvant avoir plusieurs hôtes [18]. Il est utile de signaler que la description du premier cas humain rapporté en 1923 par Janku qui fit des coupes histologiques de rétine provenant d’un nouveau né présentant une hydrocéphalie et une rétinite avait mise en évidence des kystes toxoplasmiques[14]. En 1940, le parasite provoque chez le nouveau né une encéphalite nécrotique, alors que sa mère est elle-même infecté n’en souffre pas, ce qui permet aux chercheurs d’identifier le pouvoir pathologique, de ce parasite chez l’hommefrToxoplasmose, grossesse, Symptomatologie, Neurologique, Oculaire, Septicémique.ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE DE LA TOXOPLASMOSE CONGENETALEThesis