Boutabba, HyndaMili, MohamedBoutabba, Samir-DjemouiMesaad, Abderazak2021-04-022021-04-022019http://dspace.univ-msila.dz:8080//xmlui/handle/123456789/24122De par sa position stratégique au carrefour de l’Afrique et de la Méditerranée, l’Algérie, située au centre du Maghreb, a vu de nombreuses civilisations se succéder sur son territoire. Chacune d’elle a laissé un héritage patrimonial ayant une portée mémorielle et symbolique. Classée en 1980, la Qal’a ou citadelle des Benni Hammad est le plus important site archéologique de la dynastie sanhadjienne des Hammadides, née de la scission territoriale du royaume ziride héritier de l’empire fatimide au Maghreb. Situé dans la localité de Béchara, l’une des plus pauvres de la région du Hodna, Ce site archéologique a été choisi comme un levier du développement local, et ce, par l’entremise de sa valorisation et le renforcement de son attractivité touristique. Cependant, le concept de préservation qui est attaché à la définition du patrimoine mondial de l’humanité fait mauvais ménage avec les pratiques actuelles du tourisme qui sont basées sur la notion de flux de personnes. Si le tourisme festif commence à donner un souffle économique et social à la localité de Béchara, le comportement touristique envers les éléments archéologiques de la citadelle Hamadide se fait dans un rythme et des parcours qui ne sont pas forcément positifs pour le site. Le présent papier tente de mettre en exergue les différents impacts de «la fête du printemps» sur le patrimoine de la Qal’a.frPatrimoine archéologiquetourisme festifla Qal’aAlgérieQuels Impacts des Festivites sur la durabilite du Patrimoine Archeologique: cas de la Qal’a des Benni Hammad em AlgerieArticle