مقالات علمية / مداخلات
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Browsing مقالات علمية / مداخلات by Author "Boutabba, Samir-Djemoui"
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Item Open Access GAMMA ANALYSIS : AN ANALYTICAL APPROACH TO DISCOVER ARCHITECTURAL GENOTYPES(2019) Boutabba, Hynda; Mili, Mohamed; Boutabba, Samir-Djemoui; Farhi, AbdallahThis paper aims to highlight the basis of the space syntax approach, specifically the justified graph method or "gamma-analysis" in the identification of domestic architectural types according to their spatial organizations and their dwelling patterns. This identification is done through a concept borrowed from genetics and transmitted to architecture: The genotype and phenotype. Based on several examples, this article will explain the way in which the hidden socio-spatial structures of buildings will be highlighted. Originally used in Anglo-Saxon countries, this approach is currently used by a large number of researches focused on architectural spatiality especially domestic at the global level. The article will end with the critique of the method in terms of usefulness and significance of its results.Item Open Access Le logement collectif. Quelle économie pour les opérateurs publics ? Cas du segment : logement public locatif (LPL)(2019) Boutabba, Hynda; Mili, Mohamed; Boutabba, Samir-DjemouiL’habitat était et reste à ce jour, dans la majorité des pays, l’une des plus importantes préoccupations des pouvoirs publics et le grand souci de leurs citoyens. En Algérie, le logement collectif joue un rôle économique prépondérant, vu qu’il représente la forme la plus rudimentaire de placement financier des ménages. Cependant son segment social est considéré de plus en plus comme consommateur des financements du pouvoir public, dans la mesure où l’Etat ne récupère pas son investissement. Le présent article se focalisera sur la politique du logement en Algérie, notamment les dépenses étatiques allouées au logement social (ou public) locatif, et ce, via une analyse comparative avec les autres pays occidentaux et Maghrébin de cette politique, notamment le recouvrement des loyers.Item Open Access Le patrimoine domestique rural du Honda: des spécificités spatiales et des logiques constructives en voie de déclin. Cas du modèle de la maison à cour centrale(2019) Boutabba, Hynda; Mili, Mohamed; Boutabba, Samir-DjemouiReconnue comme modèle d’habitat universel, la maison à cour s’est étonnamment répandue dans diverses régions géographiques, climatiques, sociétales et culturelles [ABDULAC 2011]. Depuis déjà plus de 6000 ans, particulièrement en Mésopotamie, en passant par Rome où, cette architecture domestique s’est ramifiée pour donner de nouvelles typologies à l’est, à l’ouest et notamment au sud de la Méditerranée, ce patrimoine est resté vivant et d’actualité dans les pays du Maghreb particulièrement dans les régions rurales steppiques d’Algérie. La maison à cour présentait une intégration parfaite au site et au paysage ainsi qu’une adaptation aux conditions climatiques sud méditerranéennes [FEZZIOUI et al. 2012, pp.399 – 400]. Cependant, les mutations socio-économiques qu’à connu récemment ces territoires algériens, notamment celui du Hodna, avaient bouleversé l’aspect urbain architectural de cette région par l’adoption de nouvelles conceptions domestiques et de nouvelles spécificités constructives qui ne présentent aucune affinités typologiques avec leurs prédécesseurs [BOUTABBA et al. 2011]. D’un autre coté, l’évolution de plus en plus rapide des modes de vie et l’uniformisation ainsi que l’urbanisation croissante, ce patrimoine rural est aujourd’hui menacé, la plupart de ses éléments architecturaux ayant perdu leur utilité et leur sens. Laissés à l’abandon, les murs et toitures s’effondrent, la végétation envahit les bâtiments. Le patrimoine rural témoin de l’histoire locale du Hodna, des savoir-faire et des techniques, des modes de vie et de pensée, et de leurs évolutions ; cet ancestral héritage architectural rural qui privilégie l’être recule à grande vitesse devant de nouvelles maisons d’apparence urbaine qui privilégient plutôt le paraitre. La présente étude s’intéresse à l’ensemble des maisons à cour édifiées à la compagne du Hodna oriental, là où la population est rattachée majoritairement à l’agropastoral. Elle renseigne sur la genèse de ce modèle architectural domestique, son évolution et essaye de démontrer les principales causes qui ont conduit à l’abandon de ce patrimoine.Item Open Access L’architecture domestique en terre entre préservation et modernité: cas d'une ville oasienne d'Algérie "Aoulef"(2016) Boutabba, Hynda; Mili, Mohamed; Boutabba, Samir-Djemoui“Living in the desert seems paradoxical because it is by definition a place that life gives up. However, there, people live, since forever and knew, with ingenuity, take advantage of the few available materials to build houses, and take shelter there in an unfriendly climate” (Le Quellec, 2006). Since the dawn of time, the Algerian Southwest region was animated by a network of human settlements built according to the urban model of the Islamic medina and its traditional habitat of adobe; collective hamlets known as ksours. Being a place of transit of the great desert caravans, linking North Africa to the rest of the continent, the city of Aoulef was one of the old oasis cities of Algeria who has known over the centuries an urban and architectural development. It was characterized by a set of ksour separated by the line of foggaras and embellished by the landscape oases. Cradle of exceptional traditional earthen architecture, housing in the city of Aoulef presents a perfect site integration and adaptation to harsh climatic conditions. This paper attempts to learn about the typological and conceptual feature of the domestic architecture of this region, its ancestral building techniques, specific to the southern regions, as well as the current constructive alternatives adopted by the local people.Item Open Access Quels Impacts des Festivites sur la durabilite du Patrimoine Archeologique: cas de la Qal’a des Benni Hammad em Algerie(2019) Boutabba, Hynda; Mili, Mohamed; Boutabba, Samir-Djemoui; Mesaad, AbderazakDe par sa position stratégique au carrefour de l’Afrique et de la Méditerranée, l’Algérie, située au centre du Maghreb, a vu de nombreuses civilisations se succéder sur son territoire. Chacune d’elle a laissé un héritage patrimonial ayant une portée mémorielle et symbolique. Classée en 1980, la Qal’a ou citadelle des Benni Hammad est le plus important site archéologique de la dynastie sanhadjienne des Hammadides, née de la scission territoriale du royaume ziride héritier de l’empire fatimide au Maghreb. Situé dans la localité de Béchara, l’une des plus pauvres de la région du Hodna, Ce site archéologique a été choisi comme un levier du développement local, et ce, par l’entremise de sa valorisation et le renforcement de son attractivité touristique. Cependant, le concept de préservation qui est attaché à la définition du patrimoine mondial de l’humanité fait mauvais ménage avec les pratiques actuelles du tourisme qui sont basées sur la notion de flux de personnes. Si le tourisme festif commence à donner un souffle économique et social à la localité de Béchara, le comportement touristique envers les éléments archéologiques de la citadelle Hamadide se fait dans un rythme et des parcours qui ne sont pas forcément positifs pour le site. Le présent papier tente de mettre en exergue les différents impacts de «la fête du printemps» sur le patrimoine de la Qal’a.Item Open Access Sauver le patrimoine urbain et architectural ancestral par des actions de restructuration. Cas du quartier d’El Argoub de Msila en Algérie(2019) Mili, Mohamed; Boutabba, Hynda; Boutabba, Samir-DjemouiAvant l’avènement du colonialisme français et à la rive Est de l’oued Ksob, la vieille ville de M’sila fut construite à l’image des villes arabo-islamiques. Caractérisée par un tissus dense hiérarchisé avec un lacis de ruelles, de rues, d’impasses, de placettes fermées connues sous le nom de "rahba" et un habitat continu, fermé sur l’extérieur et ouvert de cours et de jardins sur l’intérieur, sa grande mosquée était à la fois le centre religieux et politique et sa grande esplanade "rahba" constituait le centre économique et commercial. En 1868, la vieille ville constituée des principaux groupements : Keraghla-Chetawa, Djaafra, El-Argoub et El-Kouche, connut à la rive Ouest de l’oued Ksob une greffe ex-nihilo: la ville coloniale nettement différente par sa forme et son paysage [BOUTABBA et al. 2014], porteuse selon la tradition descriptive coloniale de «civilisation» et de nouvelles rationalité et idiologies [BENSMAÏL 1995; 2002], lui usurpa la plupart de ses atouts et la totalité de ses pouvoirs économiques et de gestion. L’indépendance n’a pas à son tour épargné la vieille ville notamment le quartier d’El-Argoub de ce délaissement, pire encore la situation socio-économique et urbano-architecturale s’est vu aggravée par un double départ constitué d’une part par une bonne partie des habitants autochtones en quête de modernité dans la ville coloniale, d’autre part par la quasi-totalité de la communauté juive véritable colonne vertébrale économique de jadis. Aujourd’hui cet héritage dualiste s’efface progressivement pour ne plus constituer qu’une ville au centre bi-polaire dont l’un est en évolution constante, l’autre ancien, dépassé, confronté aux différents problèmes d’accessibilité et de vétusté incapable de s’adapter aux besoins de la vie actuelle. Devant cette dégradation alarmante, une prise de conscience de l’intérêt de préserver un héritage culturel, un patrimoine architectural et urbain s’est éveillé et a permis dans le cadre d’un projet étatique d’amélioration urbaine de restructurer et revaloriser le quartier El-Argoub en luttant contre sa paupérisation croissante afin qu’il puisse s’adapter et répondre aux exigences de la ville contemporaine. S'agit–il de muséographier un quartier ancien sous prétexte de conserver la tradition ou bien démolir sous prétexte de moderniserItem Open Access SPATIAL LOGIC OF THE NEO-RURAL HOUSES OF THE MSILIEN GUEBLA IN ALGERIA(2020) Boutabba, Hynda; Mili, Mohamed; Hamma, Walid; Boutabba, Samir-DjemouiThis article aim is to define the logic that governs the spatiality of neo rural houses of the “Guebla” axis of the M'sila department in Algeria. Its goal is twofold. On one hand, it is a question of defining the generating planar character of these single-family homes, on the other hand, using the empirical method of space syntax analysis to consider through new cultural contexts, the importance of the human characteristic in the creation and the use of the space. This research was applied to thirty cases using appropriate mathematical and computer tools to determine the hidden socio-spatial structures of the new rural houses built since the decade of the 2000s in an agro-pastoral region of central Algeria. This study has identified several ways of distributing the domestic space through the identification of seven architectural genotypes.